(1) Départ [A] – Chemin de la Source (parking).
Remonter la petite route/sentier au nord le long de l’Allondon. Passer les deux aires de stationnement « P » et entrer dans le sous-bois.
(2) Rive droite de l’Allondon.
Quitter la route pour suivre le sentier forestier qui longe le cours d’eau (terrain parfois humide et racines : prudence). Continuer en direction des résurgences.
(3) Sources de l’Allondon [B].
Atteindre l’aire des Sources (panneaux/émergences). Faire l’aller-retour jusqu’aux résurgences, puis revenir quelques mètres en arrière sur le même sentier.
(4) Option boucle par le flanc ouest.
Depuis [B], prendre le sentier qui monte à gauche (ouest). Il grimpe en petits lacets puis file plein sud en balcon au-dessus du vallon (trace rose sur la carte) avant de rejoindre une piste forestière.
(5) Retour vers le bas de vallée.
Suivre la piste vers le sud pour redescendre et retrouver le Chemin de la Source près des parkings. Tourner à droite pour revenir au point de départ [A].
(6) Variante étang / Route de Mury [C].
Depuis la partie basse, possibilité de prolonger à droite par la petite route jusqu’à la Route de Mury [C] (mares/zone humide), puis demi-tour pour revenir à [A].
Conseils : rester sur les chemins balisés, berges glissantes par temps humide, zones sensibles — ne pas sortir des sentiers.
Balade familiale rafraîchissante en bordure de rivière. Découvrez le parcours thématique sur le rôle de l'eau et des moulins. Des tables pour pique-niquer sont à votre disposition.
Topo/pas à pas
Alimentée par les eaux qui s’infiltrent du jura, l’Allondon est une résurgence qui s’écoule, en plusieurs sources, au pied d’un petit aplomb rocheux. Abondant à la fonte des neiges au mois de mars, ou après un fort orage, son débit peut atteindre 7 m à la seconde. À l’inverse, en période d’étiage, c’est-à-dire de basses eaux, comme au mois d’août ou de septembre, il est plutôt faible, les sources pouvant même aller jusqu’à se tarir en période de grande sécheresse. Toutefois l’emplacement et la vivacité de ses eaux a constitué jusqu’au siècle dernier, une aubaine que les hommes et les femmes de ce petit territoire ont largement su mettre à profit comme en témoignent les ruines des moulins de Naz-Dessus et de Crozet que nous avons rencontrées.